Quelques motifs de consultation:


"Nous sommes parents et sommes épuisés"

Vous vous sentez débordés, vous ne vous reconnaissez plus dans vos réactions envers vos enfants. Pourtant vous exigez le meilleur de vous-mêmes.  La vie à la maison devient compliquée et source de souffrances, les enfants ne coopèrent plus, vous avez tendance à crier pour vous faire entendre, vous peinez à rester calme et les crises se multiplient. 

Vous êtes de nouveaux parents et la place de chacun n'est pas encore claire. Etre ou devenir parents n'est pas simple. Vous vous posez des questions sur la parentalité, vous êtes inquiets d e devenir ou d'être parents, vous avez peur de ne pas être à la hauteur.


"Je suis une jeune maman"

Vous vous sentez déprimée, dépassée par l'arrivée de votre bébé.
Simple fatigue, surmenage ou réel épuisement maternel ?
L'épuisement maternel ou "burn-out" ne concerne pas que le monde professionnel.
La dépression post-partum concerne 15% des nouvelles mamans et certaines sont plus fragiles que d'autres. On n'oublie aussi que cette dépression concerne 5% des pères. 
Si vous souhaitez en savoir plus, n'hésitez-pas à me contacter ou à lire ce document.
Quelques pistes peuvent vous aider à comprendre...
Les états émotionnels des jeunes mamans (cliquez)
L’Épuisement (cliquez)


"Je suis papa et épuisé..."

Les mamans ne sont pas les seules à avoir des difficultés après la naissance de leur bébé. Les hommes aussi ont leurs états d’âme. Accompagner la maman lors de la grossesse peut être éprouvant. Certaines femmes sont exigeantes, très en demande, avec un besoin d’être rassurées : le compagnon doit donner de son temps et de lui-même. Les nuits au sommeil haché, rythmé par les réveils du bébé, lui aussi en fait les frais…

 

Quand on est à bout de forces, on s’estime toujours plus fatigué que l’autre, on perd sa capacité à se mettre à la place d’autrui, c’est ainsi que s’installent les rancœurs et les déceptions dans le couple.
Il faut que chacun puisse exprimer sa fatigue, ses besoins.
Si chacun se sent entendu, reconnu dans ses difficultés, il aura moins de mal à comprendre celles de l’autre.